Des députés de l’Assembléé des Représentants du Peuple (ARP) ont souligné la lenteur du rythme de réalisation des projets de réhabillitation urbaine, ce qui exige une bonne gouvernance.
Intervenant lors d’une d’une séance d’audition organisée, jeudi, par la commission des services et du développement social pour les représentants de l’Agence de Réhabilitation et de Rénovation Urbaine (ARRU), ils ont évoqué la faiblesse du niveau de coordination avec les structures locales et les municipalités et le manque de réunions participatives avec les citoyens, selon les données publiées par la commission.
L’audition consacrée au rôle de l’ARRU dans le soutien au développement urbain, a été marquée par la présence de la PDG de cet établissement, Sondes Béji Karim et le directeur du contrôle de gestion, Noômane Guara.
La discussion a porté sur les projets en suspens, les méthodes d’intervention de l’agence et les normes adoptées à cet effet. Les participants ont suggéré des propositions relatives à un certain nombre de régions, pour réaménager certains sites et installations, réhabiliter les quartiers, et construire des stades.
Il est à noter que l’ARRU est un établissement public créé en vertu de la loi n° 69 de 1981 du 1er août 1981. L’agence est chargée de mettre en œuvre la politique de l’Etat dans les domaines de l’amélioration et de la rénovation urbaine, sous la supervision du ministère de l’équipement et de l’Habitat pour le compte de l’État et des collectivités locales, en particulier les municipalités.
Equipement : Lenteur du rythme de réalisation de certains projets de réhabilitation urbaine
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