Intervenant, mercredi 4 septembre 2019, sur les ondes d’une radio privée tunisienne, le candidat dissident d’Ennahdha Hatem Boulabiar a indiqué qu’il instaurera une taxe de 2,5 % sur la fortune, s’il venait à être élu président. Le candidat homme d’affaire estime en guise d’explication, que «la Tunisie est aujourd’hui un paradis fiscal pour les hommes d’affaires». Il est vrai que Boulabiar fait partie des candidats qui n’ont pas encore fait déclaration de ses biens. Il estime en effet, sur Expess FM, que « ce n’est pas une obligation et cela demande beaucoup de temps, mais je la ferai».
- Publicité-