Il n’y est peut-être plus, mais le candidat pour le second tour des présidentielles anticipées de 2019, avait été nommé en août 2013 par le chef du gouvernement islamiste d’alors Ali Larayedh, en tant que membre du Conseil Supérieur Islamique. C’est ce qu’on apprend à la consultation du Jort du 20 août 2013.
Créé par décret du 22 avril 1987, bien qu’organe consultatif, ce conseil a de larges prérogatives, comme par exemple de statuer sur «les questions relatives à l’article premier de la constitution qui dispose que l’Islam est la religion de l4etat », les questions se rapportant à la doctrine musulmane, l’éthique, ainsi que le domaine social»
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Vous voulez par tous les moyens faire des illusions et induire les tunisiens en erreur pour ne pas voter kais saied . Vous êtes finis les diables cachés du « Tajammaa » une fois pour toute, votre course derrière vos propres intérêts et le profit continu de votre appartenance au parti au pouvoir ne vous manera qu’au fond du trou. NOUS ALLONS VOTER SAIED rien que pour l’avenir de ces jeunes perdus. Que dieu les protège et protège notre pays.
C’est le candidat officieux de la secte de Ghannouchi
ou est le mal
Enfin il est président malgrės vous. Car soutenu par les jeunes qui ne comprennent pas vos calculettes de vieux CONS