Le Mozambique votait mardi pour des élections générales sous haute tension qui pourraient contraindre le parti aux commandes depuis 1975 à céder, pour la première fois, une partie de son pouvoir dans un pays affaibli par une crise économique et les conflits armés.
Après six semaines d’une campagne émaillée de multiples violences, les scrutins se déroulaient dans le calme, sans incident majeur relevé à la mi-journée.
Sauf énorme surprise, le chef de l’Etat sortant Filipe Nyusi et son Front de libération du Mozambique (Frelimo) devraient une nouvelle fois l’emporter sur leur rival Ossufo Momade et sa Résistance nationale du Mozambique (Renamo) lors de la présidentielle et des législatives.
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