Les questions les plus difficiles des négociations sur les otages restent à résoudre, mais on ne pense pas que les pourparlers soient terminés, a déclaré mercredi un porte-parole du département d’État.
« Par la nature même de ce type de négociations, lorsque l’on arrive à la fin, lorsque l’on progresse, les questions qui restent à résoudre sont souvent les plus difficiles. En général, on ne résout pas les questions les plus difficiles en premier, on les résout en dernier », a déclaré le porte-parole Matthew Miller.
« C’est pourquoi certains des problèmes restants doivent être résolus. Il s’agit des questions les plus difficiles et des domaines où les désaccords entre Israël et le Hamas sont les plus marqués. Nous pensons qu’il est possible d’aplanir ces divergences ».
Toutefois, Miller n’a pas voulu confirmer l’existence de « conversations particulières » toujours en cours.
« Nous pensons qu’il est possible de poursuivre la libération des otages et c’est ce que nous allons continuer à faire », a-t-il dit.