Le bureau exécutif élargi de l’UGTT a siégé mercredi et n’aurait nullement évoqué la crise de l’enseignement comme il en ressort du communiqué officiel rendant compte des travaux de la réunion.
Il s’est plutôt étendu sur la prochaine grève dans la fonction publique et le secteur public à laquelle l’Organisation ouvrière est prête, selon les dires de son secrétaire général, Noureddine Taboubi, qui a appelé toutes les structures syndicales à « s’y préparer du mieux qu’elles pourront ».
Ila affirmé que l’UGTT « ne fait pas la grève pour la grève » ajoutant qui si elle y était contrainte, elle l’observera dans les régions et les secteurs, sans se garder de remercier tous ceux qui avaient « contribué à la réussite de la grève du 17 janvier ».
Ce succès, a-t-il dit,, « révèle la dimension profondément populaire de l’Organisation ouvrière qui défend la souveraineté nationale le droit des travailleurs de la fonction publique aux augmentations salariales à l’instar des autres secteurs, ainsi que la familles démunies et les revendications de toutes les couches populaires »
