L’ex directrice du cabinet présidentiel, Nadia Akacha, a déclaré que « le 25 juillet 2021 est un moment décisif dans l’histoire de la Tunisie, un moment dont le me suis employée à faire une rupture complète avec la pourriture politique qui l’a précédé, la corruption qui a dévasté les institutions de l’État, et la négligence des droits des femmes tunisiennes et des Tunisiens, et même de leur vie ».
Et d’ajouter dans un post sur sa page Facebook officielle : « Le 25 juillet est une décision historique et une voie nationale qui devait reposer sur une méthodologie claire et un processus démocratique inclusif et sur des fondations solides pour construire un État de droit où les libertés et les institutions sont respectées ».
Akacha a poursuivi : « Malheureusement, ce moment et cette trajectoires ont fait l’objet d’un hold-up perpétré par ceux qui n’ont ni honneur, ni religion, ni patriotisme, et par un groupe de losers qui ne comprennent rien d’autre que le professionnalisme de la vulgarité, de la distorsion et de la désinformation. »
Elle s’est demandé « où en est la Tunisie aujourd’hui, d’une crise politique étouffante devenue un danger imminent et grave qu’elle n’a jamais connue dans son histoire moderne ! »
Texte confus, on a rien compris des déclarations de Mme AKacha, qui a kidnapé qui ? Quels sont les kidnappeurs ? de quel hold up parle-elle ? Qui sont les criminels ? Tout cela mérite des éclaicissements, si non pas la peine de pleurnicher.