Selon des sources, proches du dossier mais que nous n’avons pas pu vérifier auprès des concernés qui ne répondaient pas à nos coups de téléphone, une histoire d’autorisation de cimenterie dans la zone du Sud tunisien, serait l’une des causes du départ de l’ancien chef de cabinet du chef du Gouvernement tunisien.
Selon nos sources, pas moins de 80 dossiers de demande d’autorisation de cimenterie s’accumuleraient au ministère de l’Industrie qui ne devrait pouvoir en accorder, pour des raisons écologiques et de réserves des matières premières, que 7 ou 8. Ce serait ainsi le choix de l’investisseur qui aurait fait grief.
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