Le secrétaire général du CPR, Imed Daimi a déclaré, ce lundi 30 novembre 2015, lors de la séance plénière consacrée à l’adoption du projet de la loi relative au budget de certains ministères à l’ARP, que la Tunisie a besoin de procédures de contrôle beaucoup plus draconiennes pour lutter contre la corruption.
En ce qui concerne la réforme fiscale il a ajouté que « on n’a rien vu de sérieux de même pour la réforme douanière », a-t-il affirmé.
Source : Al Bawsala
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