Plus de 300 personnes ont été placées sous surveillance administrative et ce, depuis l’attentat terroriste ayant ciblé l’avenue Mohamed V, a déclaré le ministre de l’Intérieur Hédi Mejdoub.
Dans une interview accordée au quotidien « Al Maghreb », il a ajouté que la moitié d’entre eux sont revenus de zones de conflit.
Pour rappel, l’attentat du 24 novembre 2015 avait visé un bus de la garde présidentielle, et avait été revendiqué par l’Organisation de l’Etat Islamique « Daech ».
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