Selon Ahmed Mechergui, membre du bloc parlementaire du mouvement Ennahdha à l’ANC, la nouvelle constitution doit citer la réactivation du rôle de l’état dans le développement de la culture démocratique en Tunisie tout en faisant valoir la légitimité électorale, consensuelle et celle révolutionnaire.
Par ailleurs, il a fait savoir lors d’une conférence organisée par le bureau régional du mouvement Ennahdha à Béja, « le conflit » doit s’arranger sur la base d’un esprit de compromis et non pas fondé sur la majorité et la minorité.
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