Le secrétaire général d’Afek Tounès, Fadhel Abdelkéfi, a exprimé sa crainte que le scénario libanais débarque en Tunisie, avec un taux de chômage de 65% et d’une monnaie nationale ( la Lire) dépréciée de 80% alors que l’Etat se trouve dans l’incapacité de sécuriser les médicaments, l’électricité et l’essence.
Dans une déclaration, mardi à Shems fm, il a ajouté que « nous sommes à l’origine du recours au Fonds monétaire international », insistant sur le fait que le FMI ne peut pas s’autoriser à négocier avec un pays qui ne dispose pas de gouvernement.
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