L’ancien doyen des avocats tunisiens, Fadhel Mahfoudh, a admis que « la condition de danger imminent stipulée à l’article 80 de la constitution pour l’activer est bel et bien remplie »
Dans une déclaration à Shems Fm, aujourd’hui, mardi 27 juillet, il a expliqué que la détérioration des conditions générales, la crise sanitaire et la crise économique et sociale menacent la sécurité et la paix nationales, ainsi que les poursuites judiciaires engagées contre de nombreux députés.
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