Le premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a réagi avec véhémence aux mandats d’arrêt émis par la Cour pénale internationale, qualifiant ce jour de « noir dans l’histoire des nations » et accusant la CPI d’être devenue « l’ennemie de l’humanité ».
Il a dénoncé » une « décision biaisée », flétrissant le caractère « antisémite » de cette décision, qu’il perçoit comme une tentative de « dissuader Israël d’exercer son droit naturel à l’autodéfense ». Il a souligné le paradoxe d’accuser Israël de « génocide » alors que « 97% des habitants de Gaza ont été vaccinés contre la polio » par Israël.
« Aucune décision anti-israélienne scandaleuse ne nous empêchera – et ne m’empêchera – de continuer à défendre notre pays de toutes les manières possibles. Nous ne céderons pas à la pression », a-t-il conclu.
La véhémente réaction de Netanyahou aux mandats d’arrêt de la CPI
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