La Banque Centrale de Tunisie rapporte que le stock brut de dette extérieure de Tunisie connaît une hausse de 13 % sur un an en septembre 2022, pour atteindre 127,9 Mds de dinars tunisiens (TND). Le service de la dette sur neuf mois en septembre 2022 correspond à 8,4 Mds TND, avec un encours de la dette extérieure représentant 90% du PIB.
Par ailleurs, la production industrielle enregistre une diminution de 1,2% au troisième trimestre 2022, par rapport au trimestre précédent, selon les données de l’Institut National de la Statistique (INS). Cette baisse est portée par la contraction de la production des industries extractives (-4,8%), manufacturières (-0,5%) et de la production et distribution de gaz et d’eau (-1,4%). Des évolutions remarquables doivent être signalées concernant les mines (-15,9%), les produits pétroliers raffinés (-7,5%) et les industries agricoles et alimentaires (-4,6%).
qu’attendons pour réduire cette forte dette extérieure et créer des projets créateurs de la richesse et de l’emploi et programmer sa remboursement accumulée depuis la révolution bénie et on cherche encor à obtenir des nouveaux crédits extérieurs avec des taux prohibitifs je compare notre pays et le Maroc ils étaient au même niveau économique rien qu’hier le Maroc a annoncé une inflation de 6,6 % contre 10,9 % dans notre pays et pourtant on a fait la même révolution au mois de janvier pour notre pays et au mois février 2011 pour le Maroc avec la seule différence le monarque marocain n’a pas fui son pays et il a rétabli une nouvelle constitution et un référendum en trois mois et nous nous avons mis un an pour élire une constituante et un régime provisoire et trois ans pour rédiger une nouvelle constitution sans être approuvée par les citoyens et elle est avérée la plus mauvaise constitution du pays qui a engendré un parlement fractionné et divisé que les députés passent leurs temps à se chamailler et à se bagarrer verbalement et physiquement il a fallu que le président actuel a mis fin à ce cirque mais jusqu’à maintenant le pays s’enfonce dans la crise économique financière sociale sanitaire et politique sans voir le bout du tunnel .