Chokri Bayoudh, président directeur général de l’office national de l’huile (ONH) a annoncé mercredi 25 décembre 2019, que le prix de vente d’un litre de l’huile d’olive est fixé à 5 dinars 600 millimes, rapporte la radio RTCI.
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Chokri Bayoudh, président directeur général de l’office national de l’huile (ONH) a annoncé mercredi 25 décembre 2019, que le prix de vente d’un litre de l’huile d’olive est fixé à 5 dinars 600 millimes, rapporte la radio RTCI.
Nous attendons la même baisse pour les carburants, pour les factures de la STEG, pour les salaires des fonctionnaires de l’état et en particulier les ministres et les hauts cadres et les DG et PDG des divers secteurs privés et étatiques. Nous attendons aussi la baisse des factures d’hospitalisation, de celles des assurances et des autres produits qui rendent les Tunisiens plus heureux avec une vie moins chère pour tous et par tous. Les décisions de tarifications irresponsables du ministère de l’agriculture peut tuer l’agriculture en Tunisie, provoquer encore plus les importation et multiplier les commissionnaires pour rendre encore plus heureux les Tunisiens qui veulent consommer à bas prix les sueurs de leurs compatriotes agriculteurs. Ces derniers ainsi que leurs ouvriers permanents et saisonniers souffrent sans que les autres s’en rendent compte, des intempéries, de la sécheresse, de la cherté des produits et services agricoles, des maladies qui peuvent réduire leurs récoltes, du vol de leurs récoltes, des hausses des prix des carburants, des moyens de transports, de la main d’oeuvre et de tous les aléas possibles durant une ou plusieurs saisons. Messieurs les tyrans dirigeants responsables du secteur agricole qui se sont amusé à baisser de moitié la valeur de la vente de l’huile d’olive, sont-il capables d’imaginer un jour, qu’on propose de réduire leur salaire de 10% pour les redistribuer aux d’autres Tunisiens ou pour créer de nouveaux postes d’emploies pour d’autres concitoyens? Malheureusement les Tunisiens se sont habitués à voir les autres souffrir et mal vivre et profiter de leur sueur tant qu’ils peuvent. Alors messieurs les justes, essayer de baisser pour autant à tous les Tunisiens et au même prorata que vous le faites aux agriculteurs qui ne font jusqu’à présent que vous nourrir. Malheureusement l’égoïsme, l’opportunisme et l’indifférence vont nous affamer un jour. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme(Monsieur Lavoisier). Soyez Messieurs (les Tozz hikma), de bons scénaristes et imaginer la fin du spectacle, pour vous les décideurs, pour nous les récepteurs et pour nos enfants les actuels spectateurs. .