Le chef de l’Etat a annoncé que « certains avaient perçu, en 2018, des millions de dollars et d’euros pour implanter les Africains dans le pays (…) La Tunisie ne sera pas une terre pour implanter ces gens-là (…) Elle ne sera pas une terre d’accueil pour eux et veillera à ne pas être un point de passage ».
Saied a ajouté que « les pays de la rive nord de la méditerranée doivent assumer leurs responsabilités (…) Il y a des réseaux à l’intérieur qui sont en connexion avec d’autres à l’étranger. Tout le monde doit faire face à ce phénomène inhumain ».
Et d’assurer que « nous sommes africains et fiers de l’être », Kais Saied a indiqué que les migrants subsahariens sont en situation irrégulière et la loi doit être appliquée ».
On rappelle qu’un conseil de sécurité nationale, consacré à la question de l’immigration illégale et l’affluence des Subsahariens, s’est réuni hier sous la présidence du chef de l’Etat, Kais Saied.