Le ministère public près du tribunal de première instance de Sfax 1 a ordonné l’ouverture d’une enquête contre 38 individus interceptés en situation irrégulière parmi des migrants venant des pays subsahariens. Ces personnes ont refusé de se conformer aux signaux des patrouilles de la garde maritime pour s’arrêter, et ont également agressé violemment plusieurs agents.
Le substitut du procureur général du tribunal de première instance de Sfax 1 et le porte-parole officiel, Hichem Ben Ayed, a déclaré à l’agence Tunis Afrique Presse (TAP) que l’unité centrale de lutte contre la criminalité à Ben Arous a été chargée de mener l’enquête à leur sujet.
Selon la source judiciaire, vers trois heures du matin mercredi, lors d’une patrouille de la garde maritime à Laouata dans la délégation de Jebeniana, dans le cadre de la lutte contre le franchissement illégal des frontières, une embarcation transportant plusieurs migrants en situation irrégulière a été repérée. Malgré les ordres de s’arrêter, ils ont refusé d’obtempérer et ont jeté des pierres et des objets solides sur les agents.
Lors de la tentative de les maîtriser, ils ont violemment résisté aux agents de la patrouille et ont réussi à s’emparer d’un petit bateau de la garde maritime. Cependant, ils ont été poursuivis et le bateau ainsi que les migrants ont été appréhendés ultérieurement.
tous les migrants étrangers clandestins et irréguliers qui commettent des délits et des agressions contre les paisibles citoyens et nos sécuritaires doivent être immédiatement manu militari rapatriés dans leurs pays d’origine , on doit s’attendre le pire une fois ces migrants clandestins et illégaux seront en forte proportion dans notre pays c’est l’incompétence de nos dirigeants après la révolution qui n’ont pas bien surveillé nos frontières terrestres avec les pays voisins d’où rentrent clandestinement dans notre pays et sévir efficacement contre les passeurs les mafias et les citoyens malhonnêtes qui les logent les font travailler au noir sans carte de séjour et ni carte de travail avec des salaires de misère et qui les facilitent contre une forte somme d’argent leur émigration clandestinement par voie maritime vers les cotes italiennes le pire danger est ultérieur une fois ils sont en forte communauté dans notre pays avec leurs coutumes leurs traditions leurs religions leurs langues et leur croissance démographique très élevée ils vont réclamer par la force s’il le faut leurs droits comme tout citoyen tunisien alors que notre pays traverse la pire crise économique sociale financière sanitaire et sociétaire de son histoire adieu alors l’uniformité exemplaire du peuple tunisien , aux Etats Unis les afro-américains installés il y a 4 siècles d’abord comme esclave puis une dure ségrégation raciale et maintenant dans certains Etats des citoyens de second degré