Dans un article, paru en date du 16 septembre dans son édition électronique, Jeune Afrique parle de « Sihem Ben Sedrine, femme de discorde», «ni complètement une militante, ni vraiment une femme politique ». le magasine français évoque son expérience au sein de «Radio Kalima » dont «l’expérience tourne court : la radio bat de l’aile. Sihem Ben Sedrine reste imperturbable et cède en 2015 ses actions dans la radio à Slim Riahi, fondateur de l’Union patriotique libre (UPL, proche du pouvoir), alors que les comptes de la station affichent un découvert non garanti de 1,1 million de dinars (environ 500 000 euros) à la Banque nationale agricole ».
Jeune Afrique reprend ensuite les déclarations de l’avocat Nizar Ayed, à propos de cette piètre gestionnaire, puisque «ce n’est pas la première fois que cette diplômée en philosophie met la clé sous la porte : ses maisons d’édition Arcs et Aloès ont déjà connu le même sort ». L’avocat évoque ainsi l’IVD qui a engagé 1,7 million de dinars en frais divers. Achat de voitures de luxe destinées à ses membres – dont un modèle sport pour la présidente -, 120 000 dinars pour la décoration de son bureau, 40 000 dinars pour un fronton en marbre, 50 000 dinars pour l’organisation d’une journée d’information… »
Source : Jeune Afrique
elle compte rester à vie ….