Accusé d’être intervenu pour faciliter la vente de parts de l’Etat dans l’usine Al-Fouladh à un investisseur italien, le vice-président de l’ARP, Abdelfattah Mourou, a nié tout en bloc, qualifiant les « accusations » portées à son encontre de « dénuées de tout fondement ».; Cependant, lors d’un entretien téléphonique avec le site Al-rai al-jadid, il a reconnu avoir rencontré dans la ville de Brescia en Italie, l’investisseur italien qui, selon lui, lui a demandé d’intervenir pour lui permettre d’acheter les parts de l’Etat dans l’usine sidérurgique.; Mourou a affirmé avoir refusé cette démarche, ajoutant qu’il a signifié à son interlocuteur que c’est à l’ARP d’en décider.
- Publicité-