«On aurait pu aussi être plus rapide dans l’engagement des projets, on devrait aller plus vite », a-t-il souligné avant d’énumérer ses priorités: « logements sociaux, formation professionnelle, emploi, coût de la vie, justice transitionnelle et sécurité», dixit le quotidien tunisien La Presse dans une interview qui lui a été accordée par le chef du Gouvernement tunisien. Visiblement donc, la situation économique, détériorée, perturbée et qui clopine, ne figure pas parmi les priorités du chef du Gouvernement. Force est donc de se demander si la Tunisie va pouvoir réaliser les 3,5 % de points de croissance promis par son gouvernement.
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