Dans un entretien accordé à l’hebdomadaire Réalité en langue arabe «Hakaïey », l’ancien ministre chargé de la révision du système de la sécurité en Tunisie, Lazhar Akremi, s’est dit favorable à l’ouverture du dossier de la corruption qui a eu lieu après la Révolution. «Il faut arrêter l’hystérie révolutionnaire des poursuites dont font l’objet les hommes d’affaires et les capitaux, la plus part du temps pour les racketter et les soumettre à la volonté des partis pour s’en financer ou aussi de la part de personnes spécialisées dans le racket » a ainsi dit Akrémi. L’ancien ministre a aussi appelé à «tranquilliser le porteurs de capitaux locaux et les hommes d’affaires et à les faire participer dans le processus de prise de pouvoir»
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