Le prêcheur Habib Bousarsar qui avait scandé, au cours de la manifestation de dimanche dernier, « Mort à Essebsi et à la bande d’Essebsi », a rendu public un communiqué dans lequel il affirme que son appel au meurtre ne doit pas être compris comme mort d’homme, mais comme « la mort politique, c’est-à-dire que Caïed Essebsi est politiquement fini ».
Il a ajouté que son opinion renvoie à une lecture historique selon laquelle l’ex-Premier ministre a fauté concernant nombre de Tunisiens, tels que les yousséfistes, les zeitouniens, les gauchistes, les nationalistes arabes, les baathistes…
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