Il ressort d’une étude menée par la Direction de contrôle des dépenses publiques que les dépenses au titre de communications téléphoniques dans les administrations publiques et établissements parapublics sont passées de 32,9 millions de dinars , en 2009, à 35,9 millions de dinars, en 2011.
Selon cette étude dont les résultats sont publiés par Assabah, le téléphone représente, aux côtés des voitures administratives, une hémorragie de dépenses difficile à cerner, d’autant plus que 38% des communications téléphoniques sont d’ordre privé et ne relevant nullement des utilisations essentielles et nécessaires à l’action de l’Administration.
Les services concernés se penchent sur l’élaboration d’un plan rationalisant l’utilisation du téléphone dans les administrations, avec comme modèle à suivre celui mis en place par le ministère de la Santé publique.
