Une source informée citée mardi par Assarih online a démenti les informations circulant sur les réseaux sociaux selon lesquelles les cinq contrôleurs de la SNCFT qui ont passé à tabac un voyageur du train de la banlieue Sud ont été placés en garde à vue.
La même source a précisé que les agresseurs ont été entendus par les agents de la police judiciaire de Hammam-lif et ont été laissés en liberté sur décision du ministère public du tribunal de première instance de Ben Arous en attendant la fin des investigations en cours.
- Publicité-