Nous apprenons que le Président provisoire Moncef Marzouki a accusé ce samedi dans son discours d’ouverture de la consultation nationale sur la question de la réconciliation nationale l’ancien gouvernement et l’ancien Président d’avoir sciemment retardé le cours de la justice transitionnelle et refusé de prendre les mesures qui s’imposent dans ce processus.
A sa sortie de la réunion, Mbazzaa a refusé toute déclaration à la presse nationale en signe de mécontentement par rapport à l’accusation faite à son gouvernement, et du fait que marzouki ait mis tout ce qui n’allait pas dans le dossier de la réconciliation et de la justice transitionnelle à la seule charge de la période Mbazzaa.
Nous y reviendrons.
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