Deux sur le quatre scénarios disponibles à la Tunisie pour mobiliser des ressources financières au profit de l’Etat ont été verrouillés, affirme l’économiste Ridha Chakendali, ajoutant que la sortie sur le marché financier international ne peut plus être envisagée en l’absence d’une garantie accordée par des pays tels que les Etats-Unis.
S’exprimant sur Mosaïque fm, il a souligné que l’option de solliciter les pays du Golfe n’est pas non plus accessible, l’Arabie saoudite ayant marqué ses préférences pour l’Egypte et le Pakistan.
Il ne restera alors plus à la Tunisie que de s’adresser à l’Algérie ou de s’essayer à l’emprunt direct auprès de la Banque centrale, a-t-il indiqué.
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