Le porte-parole du ministère des affaires étrangères, Christophe Lemoine, a déclaré jeudi en conférence de presse qu’il soutenait les actions de la CPI, mais a refusé de commenter quand on lui a demandé si la France arrêterait Benyamin Nétanyahou s’il se rendait sur le sol français.
« La lutte contre l’impunité est notre priorité. Nous avons ratifié le statut de la CPI en 2000 et avons toujours soutenu les actions de la Cour. Notre réponse sera conforme à ces principes », a déclaré Christophe Lemoine en conférence de presse. Il a ajouté que les mandats d’arrêt constituaient « une question juridique complexe (…). C’est une situation qui nécessite beaucoup de précautions juridiques. »
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