« Ennahdha » a installé ses milices armées au rang de l’armée nationale et de la police en s’apprêtant à une étape de violence armée surtout que tous les indicateurs politiques suggèrent l’abandon du parti au pouvoir d’ici fin décembre, rapporte le journal algérien « Al Fajer ».
En se basant sur des rapports délivrés par des ambassades de plusieurs pays occidentaux en Tunisie, Ennahdha, dirigé par Rachid Ghannouchi, n’a pas tardé à installer des milices armées au sein des différentes forces de l’armée nationale et les forces de sécurité, exploitant ainsi son mainmise sur le ministère de l’Intérieur.
La même source a fait savoir que le but recherché d’Ennahdha qui vit déjà des divisions depuis l’assassinat de Chokri Belaid et la démission de l’ex chef du gouvernement, Hamadi Jebali, est de préparer une scène de violence armée, qui devrait selon ces rapports, évoluer une fois que ce parti quitterait le pouvoir, en décembre prochain, lors des élections présidentielles et législatives.
