Selon des habitants de la ville de Goubellat cités par le quotidien Essarih, le filon qui a conduit au groupe terroriste a été leur approvisionnement quotidien en pain « tabouna ».
En effet, un couple logé dans la maison où était retranché le groupe terroriste s’est présenté à une femme connue pour préparer ce pain pour lui demander de lui fournir quotidiennement des quantités de galettes moyennant une somme d’argent convenue. Mais la demande a été si grande que la « boulangère » a été intriguée par le fait qu’un sac de semoule était épuisé tous les trois jours, ce qui dépassait de loin les besoins du couple.
L’information a été communiquée par les riverains au poste de la Garde nationale, et le pot aux roses fut découvert avec la suite que l’on connaît.