« L’ordre de réquisition est un mécanisme légal, les sociétés de l’Etat peuvent y recourir au cas où ils n’ont pas pu trouver de solutions avec les grévistes de la Transtu, pour l’intérêt du pays, affirme maître Abdelaziz Essid dans une déclaration, aujourd’hui, à Shems Fm.
Il a, dans le même cadre, ajouté que le refus de cet ordre peut mener à des poursuites administratives, et même au licenciement.
Pour rappel, la grève du transport public se poursuit encore à Tunis, Sfax, Gabes, Béja et Bizerte après que les agents ont refusé l’ordre de réquisition, et ce, à l’exception de Nabeul.
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