Les participants à une rencontre débat, organisée mercredi à Tunis par le Groupement professionnel des crèches et jardins d’enfants relevant de la Confédération des entreprises citoyennes de Tunisie (CONECT), ont souligné la nécessité de revoir et de développer le cadre juridique régissant le travail des institutions privées pour l’enfance afin de l’adapter au nouveau cahier des charges et garantir une meilleure qualité de services tout en assurant un climat d’affaires sûr et durable.
S’exprimant à cette occasion, la présidente du groupement professionnel, Nabila Miladi, a indiqué que 11 articles du cahier des charges nécessitent une révision et que certains d’entre eux doivent être clarifiés pour éviter les fausses interprétations.