Antoine Balaresque, un français âgé de 24 ans, compte lancer un drone nommé Lily, qui va cartonner dans le monde des petits quadricopères. Le drone n’est encore qu’un prototype et sera commercialisé en février 2016.
Lily a plusieurs cordes à son arc :
– Un pilotage simple : contrairement à ses concurrents, ce drone est quasiment autonome. Il n’a pas besoin qu’on le pilote, il s’en charge. En effet, il suffit de le jeter en l’air pour que les rotors de l’appareil se mettent en route.
– Une caméra VGA avec système de reconnaissance : dotée d’une balise, Lily est facile à utiliser. Le drone peut précéder, suivre et filmer son utilisateur par la gauche, la droite, ou décrire des cercles autour de lui. Selon son concepteur, la caméra intégrée est digne d’une GoPro et permet de prendre des photos en 12 mégapixels.
– Un atterrissage contrôlé : le drone se pose doucement dans la main au poignet duquel la balise est attachée.
Que reproche t-on à Lily ?
Malgré ses nombreux avantages, le « selfie drone » a quelques inconvénients :
– Sans dispositif anti-collision embarqué : Lily ne peut être utilisé que dans un environnement largement dégagé.
– Une étanchéité jusqu’à uniquement 1 mètre (norme IP67)
– Une batterie avec une autonomie de 20 minutes uniquement, pour réutiliser l’appareil, il faut attendre 2 heures de charge
