Réagissant à l’enlisement du Dialogue national, la présidence de la République, a exprimé sa « profonde préoccupation » et sa « vive inquiétude », estimant que pareille situation met à rude épreuve les nerfs des Tunisiens et nuit à l’image de la Tunisie et à ses intérêts vitaux, notamment dans le domaine économique.
Dans un communiqué, la présidence de la République a exhorté toutes les parties politiques à « mettre fin à un feuilleton devenu inacceptable pour tous les tunisiens et qui frappe de plein fouet la crédibilité de la classe politique ».
Elle somme ces parties de parvenir au plus vite à un consensus ou à envisager sérieusement d’autres processus de solution de la crise dans le cadre de la loi relative à l’organisation provisoire des pouvoirs.