La proposition de nommer un ex cadre sécuritaire à la tête du ministère de l’intérieur(MI) a été rejetée, rapporte le quotidien « Achourouk ».
Ce rejet s’explique par les fautes graves commises par ce dernier et qui sont en relation avec la sécurité nationale du pays, selon certaines parties politiques.
La même source a indiqué que ce cadre a des relations avec les événements terroristes qui ont eu lieu à Djerba en 2002.
Achourouk a d’autre part souligné que seuls deux candidats sont retenus pour le poste de ministre de l’intérieur à savoir Rafik Chelli et Abdelkarim Zebidi.
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