Le ministère de la Justice s’attelle à faire la part belle aux peines alternatives en vue de les substituer aux peines privatives de libertés, a annoncé lundi le porte-parole officiel de la Direction générale des établissements pénitentiaires, Sofiène Mezghich.
S’exprimant sur Express fm, il a ajouté que l’écrasante majorité des détenus en Tunisie est constituée de jeunes dont plus de 20 000 bénéficieront des peines alternatives à la prison, dont le cadre juridique existe depuis 1999 mais très rarement mis en œuvre faute d’effectifs administratifs suffisants.
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