L’élu du CPR à l’assemblée nationale constituante, Samir Ben Amor, vient de prendre la défense de Moncef Marzouki et de ses dernières déclarations concernant Qatar, en chargeant vivement les médias tunisiens qui, a-t-il dit, ne se sont pas encore affranchis des habitudes que leur ont inculquées le régime déchu.
Il a affirmé que l’empreinte de l’ex-conseiller de la présidence de la République est toujours présente dans la presse tunisienne qui a du mal à mettre au vestiaire ses modes de traitement de l’information et de sa communication à l’opinion publique.