Il arrive aux honorables élus à l’assemblée nationale constituante d’être aussi les représentants de la frange peu recommandable de la population, en termes de langage, du moins. Les membres de l’association « Bawsala » viennent de l’apprendre à leurs dépens.
Selon le député Ali Bechrifa, cité par Attounsia, alors qu’il regagnait l’hémicycle, il a été le témoin d’une scène ou son collègue, Tahar Hmila était en proie à une colère noire et où ses deux autres collègues, Karim Bouebdelli tentaient de le raisonner.
L’irascible député invectivait à très haute voix, des membres de ladite association les qualifiant de « tourbe de la francophonie » et de « bandits de grand chemin », suite au rapport rendu public par l’association épinglant l’absentéisme des députés.
D’après la même source, cette volée de bois vert a suscité la désapprobation des élus et , immanquablement, la colère des membres de Bawsala