L’aggravation du déficit courant s’est poursuivi (6,5% du PIB pour les dix premiers mois de l’année en cours contre 6,9% une année auparavant) sous l’effet du déficit des échanges commerciaux malgré l’amélioration du rythme des exportations et le ralentissement des importations.
Il s’en est suivi une amplification des les besoins de financement extérieur et le recours davantage à des ponctions sur les réserves en devises. Celles-ci se sont établies à 11.673 MDT ou l’équivalent de 107 jours d’importation en date du 25 novembre 2013, contre 9.486 MDT et 91 jours à la même date de 2012.
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