Dans une récente interview accordée à la chaîne TV Al Arabia, en partie rapportée par le quotidien tunisien en langue arabe Assarih, le chef du gouvernement provisoire tunisien Hamadi Jbali, ne semblait apparemment pas au courant que son parti Ennahdha et le patron de son parti avaient déjà pris une position claire contre l’introduction de la Chariâ dans le Constitution. Il se met ainsi à expliquer que «la Chariâ, ce n’est pas pour punir les gens » et il appelle à mettre en place les conditions sociales adéquates, avant d’appliquer la Chariâ !! A le comprendre donc, Hamadi Jbali garde toujours l’espoir de mettre la Tunisie sous la coupe de la loi islamique !!
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