Intervenant vendredi dernier devant les PDG des entreprises publiques, le premier président de la Cour des Comptes, Abdelkader Zgolli, trouvait inacceptable, dans son intervention, qu’il n’y ait que le PDG à être sanctionné en cas de faute, alors qu’il avait déjà eu l’accord de son Conseil d’Administration, «et j’en connaîs plus d’un qui sont presque toujours absents aux réunions et ne lisent même pas leurs documents ».
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