Les journalistes tunisiens ont été surpris de la réaction épidermique de Samir Dilou à l’auditorium de son ministère où il recevait plus de 80 partis politiques de l’opposition qui n’était pas dans la Constituante. Subitement et malgré l’accord de ses invités à qui il avait justement demandé leur accord d’ouvrir ou non la réunion à la presse et qui avaient répondu par l’affirmative, le ministre des droits de m’homme et de la justice transitionnelle et qui était supposé être le défenseur des libertés et leur garant, s’était transformé en défonceur de ces liberté en mettant, d’un coup de main énervé, toute la presse dehors sans aucune explication. Dilou a par la suite du faire face au courroux des représentants des partis dont grand nombre ont aussi quitté la salle, protestant contre le renvoi des journalistes. Drôle ministère et drôle de ministre !
Tunisie : Le ministre qui défonce les libertés.
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