«Nous avons eu cette révolution à cause de la pauvreté dans quelques régions. Mais il est extrêmement difficile de trouver des emplois pour plus de 800,000 personnes, donc nous devons chercher des investissements. Le problème est que nos jeunes sont extrêmement impatients et je peux le comprendre…. Parfois, j’ai une sorte de cauchemar, pensant que nous pouvons avoir une autre révolution dans la révolution, venant des mêmes zones [qui ont fait la Révolution] et que nous pourrions avoir des blessés et des morts dans les manifestations ». La déclaration est du président de la République tunisienne Moncef Marzouki qui parlait à la chaîne TV Al Jazeera.