Cheikh Abdelafattah Mourou a déclaré qu’il renonce à son droit de poursuive en justice l’individu qui l’a agressé à l’aide d’un verre, à Kairouan, et qu’il lui pardonnera son acte « ici-bas et dans l’au-delà ».
Cité par Attounsia, il a ajouté que « ceci ne veut pas dire qu’il ne stigmatise pas l’agression et qu’il fasse preuve de tolérance en ce qui concerne les agressions des uns contre les autres ».
« Cet individu assumera sa responsabilité pénale, mais, pour ma part, je préfère le pardon », a-t-il ajouté
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