Rome a décidé d’interdire l’utilisation de véhicules diesel privés dans son centre historique à partir de 2024. Selon les données dévoilées par Le Monde, la capitale italienne n’ayant pas de grosses usines, la quasi-totalité de la pollution atmosphérique provient des véhicules.
D’après une étude effectuée l’an dernier par un département du ministère de la Culture, 3600 monuments en pierre et 60 sculptures de bronze sont menacés dans Rome d’une forte dégradation en raison de la pollution atmosphérique.
A noter qu’environ deux tiers des 1,8 million de nouvelles voitures vendues en Italie l’an dernier roulent au diesel, selon des statistiques de l’industrie automobile.