Réagissant à la mention de son nom dans les documents « Panama Papers » dévoilée par le site inkifada, le ministre des Technologies de la communication et de l’Economie numérique, Noomane Fehri a affirmé que la question n’est entachée d’aucun soupçon d’illégalité ou d’immoralité.
Sur sa page facebook, tout en confirmant l’exactitude de la version livrée par le site concernant son lien avec la société mentionnée, il a souligné qu’il avait mis fin à cette relation dès 1998 date à partir de laquelle il n’y détenait plus aucune action, indiquant que même durant la période 1996-1998, « il n’a tiré aucun revenu ni bénéfice de ce projet mort-né ».
Ila ajouté que le statut de la société est légal de même que sa constitution qui avait coïncidé avec la période où il résidait à l’étranger depuis 20 ans, ce qui l’avait fondé à participer à une société hors le pays d’origine.
Noomane Fehri a affirmé que cette question est à mille lieues de tout soupçon d’évasion fiscale ou de fuite de capitaux, soulignant toutefois sa disposition à assumer sa responsabilité juridique et morale au cas où serait administrée la preuve du contraire.