« The Sons of the Lord » ou Kadar, premier long-métrage de fiction d’Imen Ben Hassine, est sorti mercredi 19 octobre 2022 dans nombreuses salles de la capitale et à l’Agora Djerba.
L’univers de Kadar est une société dominée par la haine et le mensonge, et une classe politique corrompue qui n’est qu’une façade pour une organisation puissante dont il est difficile de s’échapper. Les personnages sont tous des marionnettes dans un nouvel ordre mondial où l’information constitue une arme contre les détracteurs.
Kadar regroupe une pléiade d’acteurs à l’instar de Wejiha Jendoubi, Mhadheb Rmili, et Younes Ferhi. Mais dès sa sortie, il a provoqué soit une levée de bouclier, soit de la fascination.
Car sur les réseaux sociaux, les avis divergent. Certains crient au chef d’œuvre, d’autres se déchaînent. Certains sont sortis en pleine projection tellement ils étaient déçus. Trop cru et sans âme, pas suffisant pour remporter l’adhésion de ces spectateurs malgré le jeu des acteurs.
D’autres sont plus cléments. Et ils encouragent à le visionner. Attendu comme le messie, le film est loin de faire l’unanimité, mais il vaut mieux se faire sa propre analyse…
Le film tunisien Kadar reçoit des avis mitigés
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