A l’approche de l’Aïd al-Adha, prévu pour le 10 juin prochain, le ministère de l’Agriculture et du Développement Rural algérien se mobilise pour anticiper les besoins croissants en moutons, essentiels pour la célébration de cette fête religieuse majeure.
Selon les données rapportées par les médias algériens, une étude est en cours pour évaluer la faisabilité d’importer des têtes de moutons afin de répondre à la demande nationale et de stabiliser les prix sur le marché local.
Cette démarche s’inscrit dans un contexte où l’Algérie fait face à une baisse notable de son cheptel ovin, estimé à 17 millions de têtes, une situation qui, couplée à l’augmentation constante des prix des moutons lors des précédentes fêtes, a poussé le gouvernement à envisager des solutions alternatives.