Une étude commandée par l’OMS n’a trouvé aucun lien entre l’exposition, même prolongée, au téléphone portable, et l’augmentation du risque de cancer du cerveau ou tumeur cérébrale.
S’il existe bien des règles en matière d’émissions d’ondes pour la plupart des appareils connectés, aucun lien n’est établi entre l’utilisation d’un téléphone et les cancers du cerveau. C’est ce qui ressort d’une étude commandée par l’Organisation mondiale de la santé (l’OMS), et révélée par le Washington Post.
Selon la conclusion rendue par ces experts, il n’existe aucun lien entre les tumeurs et cancers du cerveau et l’exposition accrue aux fréquences radio (ou ondes) utilisées par les appareils électroniques sans fil, dont les smartphones.
Le risque n’augmente pas, même lors d’une utilisation « prolongée » de plus de dix ans au sein d’une population utilisant très souvent son téléphone portable ou passant beaucoup d’appels. Les chercheurs n’ont pas non plus trouvé de liens causant un risque accru de leucémie chez les enfants exposés aux émetteurs radio ou de télévision, ou encore aux antennes de téléphonie mobile.
L’OMS appelle à l’intégration de la médecine traditionnelle et complémentaire dans les systèmes de santé
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a appelé à l’intégration de la médecine traditionnelle et complémentaire dans les systèmes de santé nationaux, compte tenu de sa contribution à la santé et au bien-être des populations et de ses nombreux avantages.
La médecine traditionnelle, complémentaire et intégrative est particulièrement importante pour la prévention et le traitement des maladies non transmissibles et de la santé mentale, ainsi que pour un vieillissement en bonne santé, selon l’OMS.
Une médecine traditionnelle et complémentaire intégrée de manière appropriée peut améliorer les résultats en matière de santé en augmentant la disponibilité des services, en particulier au niveau des soins de santé primaires.
De nombreux pays ont une longue histoire de médecine traditionnelle et de praticiens qui jouent un rôle important dans la fourniture de soins aux populations, et l’OMS reconnaît que la médecine traditionnelle, complémentaire et parallèle offre de nombreux bienfaits.