Réagissant sur sa page facebook à la constitution du « Front pour la Tunisie », Imed Daimi, directeur du cabinet présidentiel et membre du bureau politique du CPR, a estimé que cette troïka de l’opposition est une réédition de la coalition du 13 janvier 2011 qui a essayé de sauver Ben Ali.
Il a ajouté que cette coalition est fragile , car elle n’est pas homogène et régie par des intérêts fatalement contradictoires, soulignant qu’elle ne résistera à aucune bataille électorale honnête et transparente, car il s’agit , selon lui, d’un « composé de Rcdistes orphelins de Ben Ali , d’hommes d’affaires craignant pour leurs intérêts, d’intellectuels repus d’animosité idéologique et de partis démocratiques acquis aux intérêts partisans et aux calculs électoralistes. »